Certains, qui certes subissent,
nous reprochent de toujours « taper » sur les mêmes. A qui la faute ?
Comme nous l’avons clairement
déclaré : « Notre seul souci
est de briser un certain silence et d'informer autrement que par les canaux
officiels qui, bien évidemment, s’auto-congratulent ». Cela implique nécessairement la critique, surtout quand la désinformation devient la règle des détenteurs du pouvoir. Un seul exemple : ce marché de printemps si réussi à Saint Mamert...
Car ses mêmes râleurs, pour ce qui
est de s’auto-congratuler, le font très bien, et aux frais du contribuable, sans
même ouvrir les colonnes du flash-info à l’opposition municipale.
A qui la faute s’ils prêtent le
flan à la critique par leurs actes ou leurs attitudes ? C’est vrai qu’ils
nous fournissent une matière première à polémiquer très copieuse. Mais notre
souci est avant tout de rétablir un certain équilibre de l’information. Et si
nous raillons, c’est que nous préférons en rire avec vous ; pour mieux
combattre, c’est vrai, ce qui est, souvent, « à pleurer ».
Ainsi en est-il de la volonté de
sanctionner les employés municipaux sur leurs arrêts maladie. Qu’il puisse y
avoir des abus, est-ce une raison pour les pénaliser tous ?
Que penseriez-vous d'une situation ubuesque qui verrait un élu voter pour cette sanction, quand son épouse serait elle-même membre de ce personnel ? On en rit, ou on en pleure ?
Que penseriez-vous d'une situation ubuesque qui verrait un élu voter pour cette sanction, quand son épouse serait elle-même membre de ce personnel ? On en rit, ou on en pleure ?
Ou bien encore cette anecdote,
lors de la cérémonie du 8 mai :
Après les discours, la minute de silence
et la Marseillaise, le maire invite les quelques présents à un vin d’honneur ;
murmures… les enfants devaient interpréter l’hymne européen ; ils avaient
été « zappés » ; vite, vite on rétablit le protocole, les
enfants chantent… les enfants… on en dénombre un, peut-être deux, et cinq conseillères !
D’ailleurs, ils étaient où les enfants qui les autres années lisaient des
textes, déposaient des gerbes ?
Comme disait Pierre Dac : « ils prennent leurs vessies pour des
lanternes et ils se brûlent ». Est-ce encore notre faute ?