samedi 31 janvier 2015

Flashé en excès par l'opposition

L'autre Flash-info, celui de l'opposition, est dans nos boîtes aux lettres. Un numéro (6ème du nom) spécial en soutien aux commerçants de Saint Mamert mis à mal par la majorité municipale.

On ne va pas vous refaire l'histoire : on en a déjà abondamment parlé (voir ici), et on pourrait bien ne pas être les seuls puisque la presse nîmoise* serait "sur le coup".

En attendant, ce tract désigne certains élus comme "prédateurs du commerce local". On n'a rien à ajouter, sinon que, selon nos sources, cette parution aurait suscité une grosse colère du p'tit timonier...

Si vous l'avez loupé, on vous le met ici ; ça vaut la lecture :

* on ne parle pas ici de la correspondante locale de presse figurant sur le site municipal.

vendredi 30 janvier 2015

Bougeons-les !



Contribution 

 

bougeons-les !

Un rapport du Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET) propose de diviser le nombre des intercommunalités par deux. Le seuil plancher des 20 000 habitants étant la règle [cliquer ici pour lire le rapport]

Voila qui devrait relancer le débat à l’échelle locale et, comme nous l’avons déjà souligné, inciter nos élus locaux à prendre les « bonnes décisions » avant que des mauvaises nous soient imposées. 

Il y a aujourd’hui en France  plus de 2100 EPCI. Le code général des collectivités territoriales (cinquième partie) définit les établissements publics de coopération intercommunale :

Les communes ayant plusieurs compétences en commun, comme l'aménagement du territoire, la gestion de l'environnement ou les transports. Ils répondent à la « loi Chevènement » de juillet 1999 dont sont issues les communautés de communes, mais également les communautés urbaines, les métropoles, les communautés d'agglomération, les syndicats de communes, et les syndicats d'agglomération nouvelle.

Un regroupement devant permettre « de constituer des territoires dotés d’une capacité d’administration et de moyens de développement significatifs, capables d’entrer en dialogue avec les partenaires publics et privés pour concevoir et mettre en œuvre de réelles stratégies de développement économique et social. » 

À partir de ce nouveau seuil de 20 000 habitants, chaque entité définira les équipements et les services indispensables pour la population : enseignement, commerces ou structures d’hébergement pour personnes dépendantes…

Pour cela il préconise que “les petites communautés de communes voisines de nombreuses agglomérations rejoignent la communauté centrale plutôt que de se regrouper avec des territoires plus extérieurs. Il faut donc encourager l’augmentation de la taille des communautés centrales, en tenant toujours compte de la cohérence du territoire vécu” ; mais précise qu’il “revient aux élus locaux, prenant en compte les nombreuses réalités locales que l’analyse des données ne saurait refléter, de définir les alliances les plus pertinentes pour constituer le futur maillage du territoire. 

Une marge de manœuvre que nos élus feraient bien de mettre rapidement à profit ! mais, en ne faisant rien, peut-être on-t-ils déjà choisi Nîmes...

mercredi 28 janvier 2015

À la godille on l'aime bien...

Not' p'tit timonier, qui tient la barre pour pas qu'elle lui échappe, not' p'tit timonier, disions-nous, s'est glorifié d'avoir reçu les remerciements de certains riverains les pieds dans l'eau... Nous, on reçoit plutôt des doléances répétées de ceux qui ne voient rien venir...

Il nous est dit, par exemple : Je viens de le lire  (le dernier flash municipal) cela manque d’ambitions  à part la future gendarmerie... rien à part le réseau d’eau... et que faisons-nous des eaux de pluie, on les envoie dans la rivière ? quelques litres de plus...  
même pas un mot sur les dernières inondations... 
Il y a plein de routes à remettre en état... 
Les difficultés budgétaires ne doivent pas empêcher d’avoir des idées un peu plus novatrices...
Ou bien encore : 
Suite à vos articles, force est de constater que ce deuxième mandat est mal parti...  
Les débats absents  hormis l'opposition qui essaie de faire bouger les lignes... 
Pas de ligne de conduite à part la gendarmerie une obsession ; pas pour les habitants on dépendra toujours de St Chaptes et à l'heure actuelle, programmation militaire,  réduction des budgets... je ne vois pas ce dossier aller à son terme... 
Il y a plein de chose à faire, à commencer par se pencher sérieusement sur le dossier cours d'eau... depuis plusieurs mandants le problème a été mis sous le tapis pour ne rien voir ; il y va de la sécurité  de plusieurs habitants... 
La réfection du réseau routier. Des routes qui deviennent impraticables encore d'avantage depuis les dernières pluies ... 
Et aussi : 
D'après une étude, l'attrait immobilier est plus attractif dans des villages tout près de nous : lire le dernier journal de la communauté  des communes ... Alors   pourquoi attendre... 
A la place de l'ancienne cave, on pourrait faire une pépinière d'entreprises pour des startups ; on ferait venir du monde, donc logements et retombées pour  les écoles, le commerce ... 
Je pense que St Mamert a un potentiel ; à vous les élus de vous battre au lieu de projets futiles qui divisent plus qu'il ne faudrait...

Vous en voulez encore ?...
Une petite pastille digestive pour faire passer ce plat copieux ?

En attendant, hormis l'opposition, les idées seraient plutôt chez l'habitant, même si, lui, il n'est pas payé pour !


Nouvelle présentation

Suite à certaines remarques sur la présentation de ce blog, nous avons choisi de changer de style. Dites-nous ce que vous en pensez : plus lisible ? plus accessible ?
Voici un choix de positionnements. Vous disposez d'un extrait d'article pour vous guider.
N'oubliez pas de "promener" le mulot" dans les marges...

Après quelques jours, certains lecteurs semblant perdus avec la nouvelle présentation, nous avons repris l'ancienne. On verra plus tard...

mardi 27 janvier 2015

Ils sont chocolat

On vous a déjà raconté l'après-midi récréative des "anciens" (ICI).
Voici venir à eux les petits chocolats...

Les "anciens" qui ne se sont pas déplacés, mais ont envoyé un mot d'excuse, ont eu droit à un petit ballotin de chocolats, balloté jusqu'à chez eux par des élus du groupe majoritaire. Que de la douceur... que certain (au moins un) aurait refusé. Motif : on ne se gave pas aux frais du contribuable. Doit pas bien voter celui-là !

La gâterie-sans-arrière-pensée était accompagnée d'un petit mot doux dont nous nous sommes permis de souligner les fautes (et qu'on "engueule" pas la secrétaire, on le saura : car il n'y a qu'un chef, chef !)


Quelle sollicitude si vous avez des emmersoucis... ils sont là ces performants de l'action.
En fait ce "Nous", ce n'est autre que "not'maire-qui-est-au-sommet-car-lui-seul-est-grand-et-magnanime". Amen.
On s'en rend compte tous les jours, il est à l'écoute : des commerçants, des riverains les pieds dans l'eau, de l'opposition au conseil... présents partout dans le village, saluant à tout va, au long de chemins et de rues confortables...

Il vous tient la main... ou plutôt "la grappe" ! Enfants voici les vœux qui passent...

lundi 26 janvier 2015

Secret défense

Les demandes répétées de l'opposition, de communication des pièces, et des avancées (les dossiers  PLU et nouvelle gendarmerie) font l'objet d'un refus constant du p'tit ordonnateur. Aussi, Jean-Loup Calini a-t-il engagé un début de procédure par l'intermédiaire d'un avocat (une "pointure", soit-dit en passant). Ce dernier a écrit au p'tit timonier pour l'informer de sa saisine et réitérer, arguments à l'appui, les dites demandes .
 
Après un léger délai de réflexion (un mois, c'est toujours ça de gagné !) not' roi de la com' a répondu par courrier à l'homme en noir*. Il a, lui aussi, pris assistance d'un conseil (préparez vos portefeuilles si ça tourne mal pour lui). Les échanges allaient pouvoir se faire dans le cadre juridique "prévu pour".

Sauf que... not' p'tit navigateur solitaire a simplement oublié de transmettre le nom et les coordonnées de son avocat !

On est bien gouverné ! à moins que ce ne soit encore une façon de jouer les minutes de prolongations...


* expression de René Vigo qui écrivit "les hommes en noir" un roman sur le métier d'avocat.

dimanche 25 janvier 2015

C'est qui qui commande ?

Savez-vous qui a écrit : 

"certains d'entre vous ont assisté à la spectaculaire mais néanmoins pitoyable démonstration du représentant de l'association des commerçants en colère...certains ont même pu voir les affiches peu flatteuses qu'il a répandu dans le village.
Chacun a le droit d'exprimer son désaccord cependant je n'approuve pas ces méthodes violentes et sans autre intérêt que de nuire...Pour clore ce chapitre conflictuel, la mairie de St Mamert propose une réunion mercredi 21 à 21 h 30, après la distribution, en mairie. Vous êtes, en tant qu'abeilles  de la Ruche de St Mamert, conviées à participer et intervenir si vous le souhaitez."

Le p'tit timonier, sans doute ? (voir ici)... et bien, pas du tout !

L'élue en charge ?... que nenni !

C'est signé de la correspondante (rémunérée) de "la ruche qui donne des ordres" ; car c'est bien de cela qu'il s'agit :

Quand le p'tit timonier convoque les commerçants, elle ajoute : "Vous êtes, en tant qu'abeilles de la Ruche de St Mamert, conviées à participer et intervenir si vous le souhaitez". Fallait oser !

Quand les conditions d'hygiène ne sont pas respectées (photo à l'appui d'une caisse de viande à même le sol), elle vocifère : "certains ont même pu voir les affiches peu flatteuses qu'il (un commerçant du village) a répandu dans le village"Comme disait un célèbre dialoguiste, "ça ose tout" !

"Nous demandons à chacun que cette réunion se fasse de manière apaisée et constructive dans l'écoute et la recherche de solutions, sans aucune forme de diffamation" écrivait not' fan de com, alias "le p'tit timonier". On n'est plus aux gouvernes ?


samedi 24 janvier 2015

Bzz Bzz de trottoir

On vous avait dit qu'on en reparlerait : voici un petit écho de la guerre des abeilles marchandeuses.

Ruche cercueil
On vous invite, pour ceux qui n'auraient pas suivi, à lire les précédents articles sur le sujet (suivez le guide ici et ).

Tous les commerçants sont "vent debout" contre le sort qui leur est fait et la concurrence qu'ils jugent déloyale de ces amateurs de mNiel(1). Tous ? enfin presque, car il en fut un pour se rendre à la réunion (2) et y obtenir quelques avantages concédés.

Dans les minutes qui avaient précédé, un autre commerçant avait fait "un scandale" pendant la vente qui avait également lieu ce soir là. C'est le second incident, après l'esclandre d'un premier, il y a quelques jours, et l'affiche qui s'en est suivie. 

Globalement, il ressortirait, sans concertation, de cette glorieuse entrevue que certains produits ne seraient plus à la vente et que ce marché parallèle se tiendrait dorénavant sur la place de la Poste, sauf en cas d'intempéries. Ça râlerait déjà au fond de la place. On comprend pourquoi.

Une séance où même des gens extérieurs à la commune participaient. Ben voyons... Le conseil majoritaire était presque au grand complet. L'opposition, elle, ayant été tenue à l'écart malgré la demande des commerçants. Not' p'tit pacifiste a encore frappé...

Tenté aussi,le chantage aux associations : puisque c'est comme ça on va supprimer les salles à toutes associations. Diviser pour régner, avec l'intelligence d'un mirliton. 
Il y en  a même eu pour contester le droit à la parole des commerçants qui n'habitent pas Saint Mamert. On fait dans le comique troupier !

Voilà donc à quoi est occupé, indirectement, not' p'tit timonier : à godiller depuis la passerelle. Même pas d'ailleurs, puisqu'il était absent (tout comme aux vœux de la communauté de communes). Pour mémoire, il n'était pas, non plus au dernier conseil communautaire. Il va, n'en doutons pas, s'appliquer une retenue sur son indemnité ? pour être en accord avec lui-même...


Trop affairé avec tout ça, sans doute, pour avancer sur le problème des inondations (3). Les riverains continuent de se faire du souci, ils nous l'on dit.

Avec tous ces mécontentements, c'est peut-être pour ça qu'il tient tant à avoir une gendarmerie à proximité!

À suivre (ici)...

(1) du nom d'un des fondateurs du système, également "patron" de Free.
(2) simple erreur de coordination avec les autres, d'après lui. Certainement que ce sont des gens peu habitués à ce genre de conflit.
(3) il est vrai que lui mène sa barque... et il est dedans !

vendredi 23 janvier 2015

Enquête d’auteur



Une enquête nationale a lieu, du 21 janvier au 14 février, auprès des 36 681 communes de France sur la définition, les conditions d’accès, le rôle et les enjeux de la citoyenneté.


C’est la 1ère enquête menée à l’initiative de l'ASSOCIATION "EMPREINTES CITOYENNES" en partenariat avec L’UNION NATIONALE DE L’ACCUEIL DES VILLES DE FRANCE (partenaire de l’Association des Maires de France).


Vous dire qu’elle révolutionnera la vision française du sujet, ce serait sans doute être un peu fleur bleue. Cependant, pourquoi pas?…  À y réfléchir, ça profitera au moins à l’organisme qui mène celle-ci.


Not' p’tit timonier y répondra-t-il ? Si oui, probablement après consultation avec lui-même, comme c’est si souvent le cas. Si ce n’est pas « classé confidentiel-défense », comme tout le reste ou presque, on aimerait assez que la réponse soit portée à la connaissance des citoyens, justement…


Dans cette enquête, une large place est faite à l’initiative rédactionnelle. On est curieux de voir à quoi ça pourrait ressembler ici. Quand on connaît la prose officielle locale de not’ p’tit communicateur, la justesse de ton, la sincérité du propos, l'esprit de conciliation, de synthèse, sans aucun doute, on devrait se marrer !

Et si ça vous amuse, imaginez ce que vous pourriez répondre, si vous étiez vous-même le timonier de service... 
Autre jeu : imaginez les questions qui fâchent ! Vous pouvez même nous envoyer tout ça...
 
Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : questions_enquete_citoyennete_territoires.pdf

jeudi 22 janvier 2015

les abeilles ont le bourdon

Projet de réaménagement de la salle du conseil
Ça coince plutôt dans les projets mielleux de la "ruche-qui-dit-toujours-oui-enfin-presque". C'est d'ailleurs la seule à dire oui, puisque le p'tit timonier a reçu un autre courrier, cette fois de l'autre opposition, Brice Canonge pour ne pas le nommer.

Quelle déception, sans doute, pour not' premier magistralissime qui disait de celui-là qu'il était "une opposition réfléchie et constructive"(1).

Car voici que le même opposant vient de prendre parti dans cette missive, datée du 21 janvier : il soutient les commerçants dans leurs revendications

Il demande d'arrêter le prêt de salle municipale à la "Ruche qui dit oui" dans la mesure où cette structure pratique une activité commerciale (non associative).

Il précise qu'il lui semble indispensable de consulter et concerter l'association des commerçants dans les plus brefs délais et d'aborder le sujet au prochain conseil.

Tête à claque
Une réunion, il y en avait bien une, ce même 21 janvier, organisée comme un vrai traquenard, avec mobilisation parallèle des abeilles acheteuses pour faire "la claque" si besoin (voir ici notre article d'hier)

Un piège dont on vous reparlera très prochainement. Si coordonner les individualismes n'est pas facile pour certains, il n'empêche que le ton monte.
Et la posture municipale en dit long sur la réalité de l'esprit de conciliation qui règne dans "SON groupe", comme il le nomme...
"En douce, je m'pousse", dit la chanson...

(1) 62ème édi-toto du roi de la com'.

mercredi 21 janvier 2015

Contre-feu

Les commerçants ont reçu ça, au lendemain de la parution de l'affiche (voir ici) et juste avant les morts-vœux municipaux (voir ici).


En fait une réponse à une lettre du 4 décembre (c'était presque hier !!!) : si ça ne sent pas la tentative de déminage... réussie, puisque l'engin n'a pas explosé lors de la cérémonie ; ceci dit, vu l'affluence (voir ici), ça n'aurait pas fait beaucoup de dégâts.

*On notera en passant la formulation : "...d'une salle associative municipale La ruche..." encore un peu et ça va être la commune qui va payer un loyer !

1 Mais surtout l'expression de "terrain d'entente" : il y a le feu, alors on va chercher les pyromanes pour éteindre l'incendie. Surtout ne pas reculer, quoi qu'il arrive !

Et certains s'empressent même de battre le rappel des abeilles soldates (voir ici le débat au dernier conseil) pour une présence massive : mais alors, il s'agit d'une réunion publique ? quittez pas, on arrive ! La première erreur, de notre point de vue, serait que les commerçants tombent dans ce genre de piège en obtempérant à l' "ultimatum-convocation".

Enfin vous noterez ce qui pourrait ressembler à une tentative d'intimidation : "sans aucune forme de diffamation"... ça rejoint l'argument de la photo montage...

mardi 20 janvier 2015

Deux p'tits" bla bla" et puis s'en vont



La participation des anciens aux vœux est en baisse d'année en année, et la mortalité n'en est pas la cause ! Seulement 68 bulletins de vote, pardon, 68 participants, cette fois, plus quelques "intermittents du groupe" pour faire "la claque"...Le dés(s)ert avance.

Le p'tit timonier a fait soft et très court. Ça c'est un évènement ! D'abord une seconde "charlinade" (1) mais sans minute de silence... Prudent, le madré : des vieux, des fois qu'ils s'endormiraient... Puis il a (encore) redit l'intérêt qu'il porte aux personnes âgées (2) qui sont "la mémoire du village et le lien inter générationnel" .

Il a ensuite passé le crachoir, pardon, la parole à "la ministre locale de la culture et des associations" qui a égrené, façon 14-18, la liste des morts de 2014 avant quelques considérations philosophiques du genre "il est important de réunir les anciens autour d'une galette". Œcuménisme des neurones : peut-être "prions pour avoir la fève" ? et la couronne... ou l'écharpe... désolé, trop compliqué pour nous, on n'a pas compris !

Puis les 5 "grosses légumes" municipaux ont brutalement et définitivement disparus. Ça doit être l’œuvre du magicien du spectacle d'Alain JAC (3).
Comme quoi, si toutes les bonnes choses ont une fin, les autres aussi. Restèrent plus que les cinq du "petit personnel du groupe" pour faire le service.

Sans doute, l'important pour la majorité des gens était de manger un bout de galette et de brioche (4) car, une fois ces gourmandises avalées, et malgré les efforts des musiciens pour les faire danser, la quasi totalité des convives était partie avant 17H30.



(1) il y a mis le temps, la première fois, mais maintenant, presque qu'on ne l'arrête plus de "charliner" !
(2) encore le copier/coller ! Devrait-on l'appeler "micro-soft" ?
(3) toujours parfait, on est sincère
(4) toujours ça de récupéré sur VOS impôts...