Nous y faisions allusion dès hier
(Vatican comme je te pousse) :
Michel Martin, le maire de Saint Geniès brigue la présidence de la communauté
de communes (Midi Libre d'aujourd'hui). Sur le fond, avoir un président qui préside, cela ne peut faire
que du bien à une collectivité qui se cherche depuis longtemps.
Cependant, sans un réel projet
économique, l’avenir est clair : ce sera Nîmes à plus ou moins brève échéance!
Certains élus en sont conscients alors que d’autres croient encore au père
Noël.
Il a manqué un cap ces dernières
années. Il en sera peut-être autrement demain. Bien sûr ; et quoi qu’il s’en
défende, cela bénéficiera à sa commune, comme c’était déjà le cas. Mais c’est
de bonne guerre : pourquoi lui reprocherait-on les manques d’autrui ?
Que saurait apporter un autre
candidat, si ce dernier est déjà en proie à des difficultés dans sa commune ?
La gouvernance d’une communauté de commune, c’est d’abord de la diplomatie ;
autrement dit, certains n’ont aucune chance…
L’avenir de Saint Mamert dépendra
probablement demain du bon vouloir d‘un autre ; et si c’était plus efficace à terme, y
compris pour Saint Mamert ?