mardi 26 décembre 2017

Mettez-les à la poubelle !

Voici ce qu'annonce le site municipal :



Et voici ce qu'annonce le panneau d'information :



IL y a ceux qui ont sorti leurs poubelles et ceux qui ne l'on pas fait, et qui ont vu passer la benne...



On cherche 15 poubelles, ou une très grande, pour y mettre des encombrants...


mercredi 20 décembre 2017

Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras

Nous avons trouvé ces annonces sur internet : 260 € du m2, c'est le prix de terrains à vendre à Saint Mamert. C'est le prix, direz-vous...

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Si on en croit la photo, il s'agit des terrains nouvellement constructible, dans le cadre du PLU adopté tout récemment. Rien de plus normal, direz-vous...


Un PLU qui a été attaqué en justice (voir ici) par une vingtaine de Saint Mamertois et par le GAC (Groupement d'Action Citoyenne). Et qui pourrait bien être annulé dans les temps qui viennent...

On comprend mieux une certaine fébrilité à vendre avant cette échéance...

Toujours d'après la photo, ces quelques hectares seraient la propriété de 3 personnes, l'un étant adjoint au maire, ce qui a déjà provoqué des débats houleux en conseil municipal.

Rien de plus normal, dirons-nous... que de vous faire l'information...


Et pendant que nous y sommes, un petit conseil aux acheteurs : attention à l'étude des sols...








lundi 18 décembre 2017

Glissement de terrain

C'est une nouvelle vidéo (voir ici) du GAC* qui nous l'apprend : le maire s'est encore pris les pieds dans les tuyaux.

Explication : route de Fons, les buses destinées aux eaux pluviales auraient été posées dans un terrain privé sans que le propriétaire en ait été informé. Il faudra même déplacer la croix, bien connue des Saint Mamertois.

"La croix, on la laisse là où elle est, simplement on va la reculer", on vous laisse savourer cette explication du maire. Du grand art...

Si Jean-Loup CALINI n'avait pas soulevé le problème lors du dernier conseil municipal, cela serait resté "sous le tapis", pardon, sous le bitume...

C'était juste avant l'évocation de l'abattage des platanes (voir la vidéo ici). Toujours "le grand n'importe quoi"... en toute autocratie !

Ceci étant, "on a les hommes politiques que l'on mérite", a dit le philosophe André Comte-Sponville.

 

*Groupement d'Action Citoyenne, une association Saint Mamertoise.

dimanche 17 décembre 2017

L'opposition a fait "le max"...

Lors du dernier conseil municipal, en l'absence de tout public, l'opposition a vertement protesté contre l'abattage des arbres jusqu'à ce que le maire lève la séance en plein milieu des débats ; c'est devenu une habitude chez lui... (voir la vidéo en fin d'article)*

Il l'avait annoncé dans son dernier bulletin municipal : c'était SA décision, encore que annoncée comme celle de SA majorité, laissant croire à une décision du conseil municipal... QUI N'A JAMAIS EU LIEU ! un chef d’œuvre d'autocratie.

Mais où était donc passé "l'enchaîné" de juillet ? (voir ici). Il avait, à l'époque, appelé l'opposition à la rescousse ; la mobilisation avait entraîné l'arrêt du chantier. Il (l'enchaîné) est depuis devenu totalement silencieux.

Même le bulletin de l'opposition qui alertait sur la décision du maire (voir ici) ne l'a pas sorti de son mutisme.

Le conseil s'est tenu jeudi soir, les arbres ont été abattus vendredi ! Vite fait, bien fait... et voici "qu'il" réapparait aujourd'hui :

Il est déchaîné ! c'est juste un peu tard et très efficace...

Nous aurions une proposition à faire :

L'association "Mémoire de Saint Mamert" envisagerait la pose de plaques historiques sur les monuments de Saint Mamert. Et si elle en posait une en mémoire des arbres centenaires ?...
et pas que...


* le GAC (Groupement d'Action Citoyenne) a publié un extrait vidéo des débats (cliquer ici pour le voir).








dimanche 10 décembre 2017

Dernier conseil... 2017 !

Voici l'ordre du jour du prochain conseil municipal.

Vous noterez qu'il n'y sera pas question de l'abattage des arbres. Il est vrai que, hormis la protestation des élus d'opposition (voir ici), cette fois, on n'a pas entendu grand monde s'insurger...

Pour le contenu de l'ordre du jour, on vous en reparlera après, histoire de ne pas donner des arguments à "ceux d'en face". Mais vous pouvez déjà vous faire une idée...

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samedi 9 décembre 2017

Le débat est ouvert



Voici une remarque choisie parmi d’autres à notre article « sortie de route » du 6 décembre :

Je vous suis et souvent d'accord avec vous sur la gestion du village.

Mais j ai un désaccord avec vous sur les bons et anciens de St Mamert et les autres.

Quelle caricature : un village sans sang neuf est mort et opposer les habitants c'est le pire qui peut arriver.

Tout le monde peut avoir des torts,  mais l'opposition au maire ne gagnera pas si vous  vous en êtes à chercher les responsables sur ceux qui ne sont pas né ici.



Voila mon opinion  je pense que vos écris ont dépassés vos pensées enfin je l’espère.

Notre réponse :

Si vous avez compris ainsi ce que nous avons écrit, c'est effectivement que nous nous sommes mal exprimés; ou que nous voulions susciter le débat...

Avant tout, une précision : ce que nous écrivons ici n'est pas parole des élus de l'opposition du conseil, même si nous en partageons l'essentiel.

Ensuite, loin de notre idée d'opposer les anciens et les nouveaux habitants qui, pour certains, sont parfaitement intégrés au village et ont à cœur son devenir.

Mais nous avons dû faire, année après année, le constat qu'il existe une part importante de la population qui "réside ici sans s'y intégrer". Ce n'est pas de leur faute : c'est la nature de "village dortoir" que nous sommes devenus qui en est la cause.

La faute en revient aux gestionnaires de la commune, et à l'équipe actuelle principalement, qui ont refusé de donner, à notre village, une dynamique, en particulier économique, qui aurait permis cela.

Même dans l'histoire de la défunte communauté de commune "Leins Gardonnenque" Saint Mamert a été marginalisé. Deuxième commune en nombre d'habitants, jamais nous n'en avons obtenu la présidence. Nous n'avions pas même un poste de vice-président ;  c'est dire ! Et la faute à qui ?

Or c'est à ce niveau que s'est décidé l'avenir des communes, depuis toutes ces années.

Un exemple : dès la création de la communauté de communes il avait été acté que Saint Mamert détiendrait le pôle culturel. C'est à cette condition que Saint Geniès a obtenu le siège de l'institution.
Jamais ce ne fut le cas, car le maire n'a jamais su, ou voulu, faire respecter cet engagement.

Faire de Saint Mamert un centre culturel aurait été le seul moyen d'éviter à la commune son destin de village dortoir.

La "goutte d'eau" que nous sommes devenus dans Nîmes Métropole laisse présager du pire. Il faudra une "sacrée équipe" pour mener ce combat. Aujourd'hui, avec la majorité que l'on sait, nous en sommes loin !

C'est ce constat que nous faisons.

mercredi 6 décembre 2017

Sortie de route

Voici que la guerre des platanes pourrait bien ressurgir après l'édito du maire paru dans le bulletin municipal qui vient d'être distribué.

Des propos, et des actes surtout, qui suscitent le courroux de l'opposition, on comprend pourquoi. (Lire ici leur bulletin).

Nous avons consacré plusieurs articles sur le sujet des platanes de la route de Fons (voir ici). Nous verrons bien aujourd'hui quel sera le niveau de la mobilisation, mais les arbres seront sans doute "à terre" avant que le début du commencement d'une action soit engagé...

Car cela se passe comme ça à Saint Mamert : le maire, fort de sa majorité, mène "SA politique" tambour battant, mésestimant son opposition et même, comme on le constate encore une fois, au mépris de la population qui conteste.

C'est que Saint Mamert, qui avait encore, il y a peu, une population "de souche ancienne", est devenu un village dortoir à cause d'une croissance rapide due à l'apport de populations extérieures. Celles-là, trop souvent, ne s'intéressent guère au devenir du village. Leur non-présence aux manifestations locales en est l'illustration. Demain, sans doute, ils seront "ailleurs", alors...

Il suffit que leurs besoins immédiats soient satisfaits. Et encore dédaignent-ils le commerce local.
On voit même des nouveaux habitants se plaindre du chant du coq ou du braiment d'un âne. Un comble à la campagne ! Tout juste, et encore pas toujours, saluent-ils leur voisin.

Une occasion en or pour la majorité municipale de n'en faire qu'à sa tête. Ce qu'elle fait. 

Si, jusqu'alors, la commune était peu endettée, la note sera salée demain avec la nouvelle gendarmerie, la cave coopérative et autre "skate park"... ils ont beau dire le contraire ; il suffit de réfléchir un peu.