Ils avaient pris la précaution d’amener "leur troupe", parce que, pour la foule...
Une cérémonie vite expédiée avec la lecture d'un court message de l'UFAC (voir ici) et celui, tout aussi court, du Secrétaire d'État aux anciens Combattants (voir ici) plutôt "ânonné"par le maire.
Sitôt fini, direction le foyer municipal pour lever le coude. Et là, ils ont pris leur temps...