L’exception faite à Moussac et Parignargues a pour première conséquence que les autres communes rejoignent l'agglo de Nîmes par "extension" et non par "fusion".
Un jargon qui peut paraître étrange, mais qui cache une réalité : la fusion n'est admise qu'entre deux intercommunalités.
Peu d'incidence pour Nîmes Métropole, mais beaucoup pour les communes de Leins Gardonnenque qui vont devoir gérer les compétences qui ne seront pas reprises dans la fusion. On pense d'abord à la petite enfance qui a été "le" fer de lance de l’opposition à tout regroupement. Mais une incidence qui devrait se résoudre sans trop de difficulté.
Il est intéressant d'étudier le nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (2016-2020) qui en découle. Un document à décrypter, ce que nos collaborateurs s'emploient à faire. Nous y reviendrons.
Si le cœur vous en dit, le document est téléchargeable (60 pages) sur le site de la préfecture :