dimanche 24 avril 2016

Encore de l'info utile

Vous n'avez peut-être pas eu l'information. Les horaires de la Poste changent à partir du 2 mai 2016.

Vous souvenez-vous du temps où c'était ouvert tous les jours ? où il y avait un receveur sur place ? Il y avait alors moins de 700 habitants à Saint Mamert contre plus de 1500 aujourd'hui. Il y avait aussi une agence de Groupama, une permanence du Crédit Agricole... Mais ça, c'était avant... quand la gendarmerie était ouverte tous les jours.

Demain, vous aurez des logements pour des gendarmes... et plus de commerçants, vu le sort qui leur est fait par notre édile local.

Allez, passons aux choses pratiques ; voici les nouveaux horaires postaux :

Lundi - Mercredi - Vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h 20
Mardi - Jeudi - Samedi de 9 h à 12 h.


vendredi 22 avril 2016

La déviation en image

cliquer pour agrandir

mardi 19 avril 2016

lundi 18 avril 2016

Tout ça pour ça

Quand la municipalité organise un évènement, c'est rien que du grandiose. Aussi, il avait fallu empêcher le pizzaiolo de faire terrasse (cliquer ici) pour faire la place à tout un monde d'exposants. Un petit monde - moins d'une dizaine - dont le boulanger, seul commerçant local à avoir été sollicité : les autres sont en disgrâce pour oser contester le sort qui leur est fait par notre jocrisse tricolore.

Dommage pour le vide grenier de l'APE, seule vraie attraction du jour, qui n'avait pas de "locomotive" pour attirer le chaland. Il y a eu quand même quelques chineurs et on a pu remarquer un stand de brocante tenu, en face du bar, par le GAC, Groupement d'Action Citoyenne. Voilà qui a, sans doute, fait que la très brève apparition du maire s'est arrêtée à hauteur de la boulangerie. Pas question de croiser ces gueux-là.

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.

samedi 16 avril 2016

Bilan de réunion... de bilan

quand le désert avance...

jeudi 14 avril 2016

À si peu près...

Il l'a dit, il l'a écrit : "vous pourrez constater la fragilité budgétaire de la CC du Pays Sommiérois". Mais qui encore croit en ses affirmations péremptoires ?

Dans la presse locale (Midi Libre du 11 avril 2016) on peut lire que le budget de la communauté de communes du Pays de Sommières a été adopté a une très large majorité, "après l'examen et la validation des bons résultats financiers de l'année 2015, à savoir plus d'un million d'euros d'excédent..."

Le bougre est coutumier du fait ; rappelez-vous, il a annoncé le début des travaux de la gendarmerie pour juin 2016 : il s'agit du début des études...

Aujourd'hui aussi, toujours dans le même édi-toto, il laisse encore croire que "nous avons deux choix" ; ce n'est plus vraiment le cas. Mais il n'est pas à une contre-vérité près; après tout, il a sa majorité... complaisamment servile *!

* Il débat surtout avec lui-même ; ensuite vient le "cercle des initiés" (les 5 adjoints + 1). Les autres sont là pour le quorum et pour... lever la main. D'ailleurs, ils découvrent souvent les choses en même temps que l'opposition ; c'est dire !... et certains le disent d'ailleurs, avec candeur !

mardi 12 avril 2016

Que la mariée est belle !

"Le Flash à Jean Richard" est en cours de parution, avec un édito sous forme de pavé indigeste, comme d'habitude.

Et voilà que soudain Nîmes métropole se pare de toutes les valeurs. Qui l’eut cru ? ben... lui justement ; ou du moins c'est ce qu'il espère nous faire avaler après sa défaite.

Dans le même temps, il fait le résumé du conseil municipal en quelques mots ; et toujours pas de compte rendu du même conseil sur le site municipal.

Et d'attaquer l'enquête de l'opposition avec le culot du roi des camelots.

On vous a déjà tout dit sur le sujet ; on en restera là. Même la presse locale vous a éclairé, déchaînant le courroux de Jeannot la bricole, si on en croit son entourage.

Pourquoi lui donner plus d'importance ? Car vous avez compris depuis longtemps ; il n'y a que lui pour vous prendre pour des demeurés !

samedi 9 avril 2016

Le dernier conseil évoqué dans la presse locale

Une fois n'est pas coutume, nous vous invitons à lire le compte rendu du conseil municipal paru ce jour dans Midi Libre (cliquer ici). 

Nous avons suffisamment critiqué des articles sur le même sujet, parce que la correspondante n'assistait pas aux réunions, et qu'on se doutait d'où venait le commentaire. Alors reconnaissons aujourd'hui que, cette fois, ça "colle" avec la réalité. Pourvu que ça dure, car "notre Jean-Richard" n'est pas du genre à tolérer cela : on l'a vu avec le précédent correspondant...

Par la même occasion, vous pourrez constater que ce que nous en avons dit nous-mêmes était bien la triste réalité. Bien sûr, notre ton est plus "caustique", c'est le style de notre blog.

Quant au compte rendu "officiel" du conseil, il est affiché sur les panneaux (c'est une obligation légale dans les 3 jours) mais toujours pas disponible sur le site municipal. Un léger malaise, peut-être...

Pourtant vous pourriez y admirer sa mauvaise foi quand, acculé,  "il" critique l'enquête sur la CC faite par l'opposition, allant jusqu'à prétendre, sur le moment, ne l'avoir eu, ni avoir lu. Le culot et la morgue d'une vieille baderne...

(à suivre)

jeudi 7 avril 2016

Pompons gaiement

Dans le vote du budget 2016, la dépense de remise en l'état du forage des Tinelles a été votée : 15.000€. Rien que ça ! 

Et pourquoi : pour arroser les jardins partagés de l'association du même nom. On apprend par la presse locale qu'ils sont 30 familles dans ce projet. Résultat : 500€ par famille. Est-ce seulement les jardins qui sont arrosés ? Et ce n'est pas fini en matière de dépenses... Les autres associations apprécieront...

On apprend également que "La pompe d'irrigation est désormais fonctionnelle". Ce qui signifie que la dépense a été faite sans l'accord préalable du conseil. Lors du vote du budget, ce lundi, le maire a présenté cela comme une dépense "à venir"

Le forage n'étant pas la propriété de la commune, mais celle d'un syndicat, le maire parle "d'une convention verbale" avec son président. Nulle trace écrite : voilà qui permet de déclarer n'importe quoi. Comme pour la CC ou la cave, on y reviendra.

Un autre information sur le sujet : on nous a signalé qu'il n'y aurait plus de parcelles à distribuer mais que certaines familles en cumuleraient plusieurs. Tous des Saint Mamertois, sans doute. Levez le doigt...

Encore une question : pour qu'ils aient besoin de parcelles individuelles, sont-ce des gens qui n'ont pas de jardin personnel  ? Levez le doigt...

Des parcelles de terrain communal louées par l'association. C’est la poule aux œufs d'or !
Ne nous méprenons pas : ce n'est pas l'association que nous visons là, mais, d'abord, les pratiques de certains élus.

Et une remarque : la photo du journal (on vous la reproduit ci-dessous) permet de constater la présence de plusieurs élus à l'assemblée générale (à priori réservée aux membres, donc...) . Pourtant tous ceux-là ont "voté le budget comme un seul homme" alors que la bonne règle est de ne pas participer ni au vote, ni aux débats d'ailleurs, en cas de conflit d'intérêt !

Les mêmes élus qui, pour certains, sont les instigateurs de "la ruche qui dit oui" si nuisible aux commerçants locaux. Quand on vous dit que c'est "une clique"...

Une règle qui a été partiellement respectée (présence pendant le débat, et sortie au moment du vote pour l'élu concerné) lors du vote d'une subvention de 100€ pour un séjour d'un enfant de Saint Mamert qui est dans cette classe de CLIS (Classe pour Inclusion Scolaire) de Sauzet.
L'an passé, quatre enfants de Saint Mamert étaient concernés et la subvention totale a été de 200€. Simple constatation.

Les "Bobo" sont au pouvoir.
Nous avons compté au moins cinq élus, et vous ? (cliquer pour agrandir)
(à suivre)

mercredi 6 avril 2016

Messie ? mais non !

Le conseil a débuté par une déclaration de l'opposition que nous reproduisons ici :

"En préalable à l’ordre du jour, nous tenons à protester sur deux sujets : 


1°) Les élus de la majorité connaissent bien avant ceux de l’opposition la date et certains points de l’ordre du jour. Nous en avons la preuve dans cette enveloppe scellée : pour ce conseil, les élus de la majorité connaissaient dès le 15 mars que le conseil aurait lieu ce jour. Les élus de l’opposition ne l’ont su que le 30 mars. Cette situation est inadmissible et nous lui donnerons toutes les suites utiles.


2°) Malgré nos demandes répétées, vous n’avez pas cru bon d’inscrire à l’ordre du jour un débat sur le devenir de la commune dans le cadre de l’intégration à Nîmes Métropole. Vous abusez de votre position majoritaire pour refuser le dialogue avec les saint mamertois.


Nous attendons vos explications sur ces deux points."
 

Lourd silence de ceux-là sur le premier point, et explications fallacieuses du maire, question d'habitude. 

Quant au second point, renvoyé en fin de conseil, il a été ponctué de commentaires du maire (et du silence des siens) qui valaient la chandelle. En voici les principales perles (mot à mot):

"le Préfet n'a pas encore donné son avis" [!!!!!!]

"J'ai déjà organisé une réunion publique où il n'y a eu que quinze personnes qui sont venues, j'y suis pour rien" [on cherche encore la date de la dite réunion...]

"on en reparlera encore parce qu'il n'y a rien d'arrêté"

"quand on pose une question aux gens il faut leur dire tous les tenants et tous les aboutissants"

[aller à Nîmes], "on l'a pas voté mais on le votera"

"Sommières ils ont la compétence écoles, MOI JE ne veux pas perdre la compétence, c'est MON point de vue"

"MOI JE ne joue pas une place de vice président ou de quoi que ce soit"

"JE parle pour ma commune et l'intérêt des saint mamertois"

"après on se repose, on laisse le temps sur le débat à tête reposée, intelligemment"

"85% des saint mamertois travaillent sur Nîmes"

"JE ne me suis pas prononcé avant parce que j'étais solidaire des 14 maires ce que tout le monde a pas fait"

"c'est le conseil municipal qui décide"

"aller à Sommières aujourd'hui, c'est difficile"

"JE pars du principe que nous sommes élus et que c'est ça la démocratie et poser des questions à des gens autant bien ça ne les intéresse pas forcément ... nous JE pense que nous sommes là pour essayer de faire une synthèse et de les informer...J'en ai parlé sur le griffe et JE compte en reparler"

"ON est là pour décider..."

Il a même tenté de dévier l'attaque en critiquant l'enquête de l'opposition tout en prétendant ne l'avoir ni eue, ni lue. Quel homme !
d'un Jean Richard à l'autre... *
* voir : http://resisterastmamert.blogspot.fr/2016/03/comique-de-situation.html

(à suivre) 

mardi 5 avril 2016

Petit message aux impatients

Le conseil municipal d'hier soir s'est terminé un peu tardivement.



Et dès ce matin des petits impatients s'enquièrent déjà de son contenu. Louable attention à notre travail. Il faudra encore patienter un peu que nous ayons reçu tous les éléments et travaillé dessus. Il y a "du grain à moudre".

Ça vient... pas de souci. Ceci dit, si ceux-là étaient, comme d'autres, venus voir sur place... un spectacle "majoritairement" désolant, paraît-il !


Indi-gestion


Autre petite info : les parents d'élèves ont été hier, un peu tardivement, prévenus qu'il n'y aurait pas de cantine aujourd'hui pour fait de grève.

Ce matin la mairie a acheté 32 baguettes de pain, comme à l'habitude. Pour faire vivre le commerce local ? On n'en doute pas !

lundi 4 avril 2016

À ce soir

Ce soir (à 20 H 30) aura lieu le conseil municipal avec neuf points techniques à l'ordre du jour... et rien sur la communauté de communes !

Bien sûr il y a les questions diverses, sans autre précision ; et, rappelons-le, un point traité en question diverse ne peut faire l'objet d'un débat ou d'un vote : uniquement de l'information.

C'est donc ainsi que compte "clôturer" la majorité : "circulez, il n'y a rien à voir".

L'opposition joue son rôle... qui s'arrête quand on passe aux voix. Normal, le maire l'a toujours mis en avant : "on passera au vote, on a la majorité". Et même si nombre de ceux qui ont voté, il y a 2 ans", Jean-Richard Solana*" s'en mordent les doigts aujourd'hui ; mais  la règle de la démocratie est bien celle-là.

Heureusement, il reste une autre arme démocratique : la contestation. Ce que certains appellent "la pression de la rue".

Il ne vous reste que la solution de vous manifester par toutes les actions possibles, en particulier en venant montrer votre mécontentement lors des séances des conseils. 

Une action complémentaire serait de montrer du doigt chaque élu responsable de son vote. Car ils sont tous responsables, méprisants qu'ils sont d'avoir refusé de vous consulter.

L'opposition seule n'obtiendra rien. C'est VOUS qui pouvez tout. Criez, sifflez, pétitionnez, manifestez, écrivez... faites bouger les lignes, c'est votre seule chance de ne pas être un mouton.

Et c'est devenu vital !



dimanche 3 avril 2016

Le nouveau SDCI 2016-2020

L’exception faite à Moussac et Parignargues a pour première conséquence que les autres communes rejoignent l'agglo de Nîmes par "extension" et non par "fusion". 

Un jargon qui peut paraître étrange, mais qui cache une réalité : la fusion n'est admise qu'entre deux intercommunalités. 

Peu d'incidence pour Nîmes Métropole, mais beaucoup pour les communes de Leins Gardonnenque qui vont devoir gérer les compétences qui ne seront pas reprises dans la fusion. On pense d'abord à la petite enfance qui a été "le" fer de lance de l’opposition à tout regroupement. Mais une incidence qui devrait se résoudre sans trop de difficulté.

Il est intéressant d'étudier le nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (2016-2020) qui en découle. Un document à décrypter, ce que nos collaborateurs s'emploient à faire. Nous y reviendrons.

Si le cœur vous en dit, le document est téléchargeable (60 pages) sur le site de la préfecture :






samedi 2 avril 2016

Pousses-toi de là



En octobre 2015, le préfet du Gard avait proposé à la CDCI d'intégrer, en bloc, les 14 communes de Leins Gardonnenque à Nîmes métropole. 

Cette “fusion” avait deux conséquences majeures : elle permettait à l'Agglo d’augmenter ses dotations, mais elle imposait un renouvellement complet de son exécutif, y compris son  président. Une opportunité qu’aurait guettée Jean-Paul Fournier pour régler ses comptes et imposer son candidat.

C’est rapporté par la presse locale : Yvan Lachaud aurait pu proposer, vu l’urgence, une des 14 vice-présidences aux douze communes entrantes, si tel était le choix du Préfet de laisser Moussac et Parignargues aller où bon leur semble. Une réalité depuis le 30 mars dernier…

À quel moment aurait eu lieu cette proposition ? Voilà qui éclairerait les dernières péripéties des élus de Leins Gardonnenque sur le sujet, unanimement courroucés par l’amendement CALINI venu, un temps, troubler le marigot ; d'où la colère de certains...

Le récent jeu de "fauteuils musicaux", entre Frédéric Touzellier, Vice-président et Gaëtan Prévoteau, maire de Langlade et membre du bureau communautaire, a renversé le scénario d’Yvan Lachaud et pourrait bien déplaire à l’élu de Leins Gardonnenque qui aurait pu lorgner la place… et l’indemnité ! 

Des bruits circulent aussi sur d’autres promesses que nous ne préciserons pas ici, faute de preuves ; prochainement peut-être.

Car il ne faut jamais ignorer l’élément financier dans ce genre de débat ; chacun y a son « petit dédommagement », jusqu’aux présidents de syndicats intercommunaux. Dans les conseils municipaux, par exemple, il n’y a pas que les maire et adjoints qui sont indemnisés, il y a aussi ceux qui, désignés par leur majorité, accèdent à ce genre de fonction "présidentielle". Ça aide à comprendre…

Loin de la grande tragédie grecque jouée par nos élus à la CC, c’est la triste réalité, et la conclusion de cette dernière représentation. Rideau ?