À propos de "Toujours à sens unique" (cliquer ici), on a reçu le courrier suivant :
"Non les riverains n'ont pas seulement quelques
soucis avec la Mairie, ils sont en colère, tout simplement. Ils subissent les
conséquences d'une décision qui a modifiée leur quotidien. D'un simple chemin
qui desservait des habitations, nous sommes passés à ce qui ressemble à un périphérique aux heures de pointe. Pour exemple, en une seule journée, 400
passages ont été comptabilisés (dans un sens comme dans l'autre), alors que nous
n'avions que les passages quotidiens de riverains qui respectaient la vitesse
"eux".
Parlons-en de la vitesse limitée à 30 km/heure.
Est-ce pour gagner du temps que les parents en direction de l'école accélèrent
et roulent en moyenne à plus de 50 voire 60 km/heure ? Ils transportent leurs
progénitures nous semble-t-il ? En sont-ils conscients ? Visiblement pas et ils
ne se soucient guère des piétons, des cyclistes et des riverains qui doivent
faire preuve de vigilance en sortant de chez eux. Est-ce pour provoquer que la
jeunesse en moto confonds vitesse et accélération sur ce même périphérique
improvisé, et cela à 80 km/heure?
Quant aux problèmes de santé publique concernant
plus particulièrement le bruit, nous nous trouvons dans une situation où les
riverains devront s'enfermer chez eux et ne plus profiter aux beaux jours de
leurs jardins, terrasses et lieux paisibles qu'ils adorent tant et pour lesquels
ils ont fait des sacrifices pour accéder à la propriété.
Bravo pour les décisions et le bien-être des
habitants.
Bravo pour la communication et les explications
plausibles.
Bravo pour le vivre ensemble.
Nous pensions que la commune était le dernier
rempart où les décisions se prenaient en commun à une échelle locale et humaine,
et bien non, nous nous sommes trompés. Le constat est amer, mais les riverains
persistent et résisteront quoi qu'il advienne, pour faire modifier cette
décision jamais concertée et injuste".
"Quelques soucis", c'était une façon de parler , mais vous l'aviez bien compris... et avec les projets à venir, ça pourrait bien être encore pire !
"Quelques soucis", c'était une façon de parler , mais vous l'aviez bien compris... et avec les projets à venir, ça pourrait bien être encore pire !